Arrêtés dans notre élan le 14 mars, date du dernier atelier de création en studio et veille de confinement, nous – danseurs et Yéhoudit – avons poursuivi le travail différemment.
Chacun chez soi, seul ou ensemble, des scènes de vie et de danse ont été improvisées, travaillées, retravaillées pour construire ce journal.
Explorer le quotidien, la fatigue, l’enfermement imposés par le confinement. Chercher, malgré tout, la porosité de nos espaces et de nos danses. Quérir l’infini de ces lieux clos.